Anaïs Nin : « L’amour ne meurt jamais de mort naturelle, il meurt parce que nous ne savons pas revenir à sa source »

Et si ce que nous appelons l’amour, cet amour évident / amour feu d’artifice / amour passion… n’était pas de l’amour mais  une « illusion », l’illusion « prince.sse charmant.e »… Un rêve ? Rêve qu’il faudrait se résoudre à perdre faute d’usure – usure du couple, usure du quotidien ?

Basé sur « les feux » du début, l’amour se développerait tout au long d’un travail sur soi et avec l’autre (amant.e aimé.e) dans lequel chacun repère là où il se ferme (conflit) pour trouver à nouveau à s’ouvrir et retrouver sa tendresse et la dynamique du désir… Cet amour qui dure est l’occasion de rester profondément en lien avec soi-même et avec l’autre. Il se construit, nous permet de rester vivant.

Retrouvez Anaïs Nin sur France Culture, 3 mn de philo de Frédéric Midal. Photo tirée du site de France culture : Anaïs Nin en 1969 Crédits : ullstein bild – Getty